AVOCATS, JUSTICE, PROCES, YVES DE TREGUIER (saint ; 1253-1303), YVES DE TREGUIER, PATRON DES AVOCATS

Yves de Tréguier, patron des avocats

Saint Yves de Tréguier, patron des avocats

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Prière par l’intercession de Saint Yves pour tous ceux qui ont des procès ou vivent des conflits de voisinage, familiaux et professionnels…

 

Seigneur je me tourne vers Toi avec confiance, appuyé sur la prière de ton serviteur saint Yves ;

Tu es le Dieu de l’amour et de la vérité, de la justice et de la paix, et Tu as donné à Yves Hélori en son temps de juger avec équité, d’assister les pauvres et de les défendre comme avocat dans leurs procès ; d’appeler l’Esprit Saint sur lui même et sur les plaideurs ; Tu as voulu que son sens de la justice et son aide aux plaideurs en difficulté perdurent à travers les siècles en confirmant par des miracles nombreux sa sainteté.

Aussi je prends aujourd’hui saint Yves comme mon avocat auprès de Toi afin qu’il Te supplie avec moi dans mes difficultés actuelles [1] de m’obtenir justice et paix, équité, miséricorde, réconciliation.

Et Toi, Seigneur Esprit Saint que Jésus nous a laissé comme avocat et défenseur, qui as assisté saint Yves durant son office de Juge, son service d’Avocat et son dévouement pour les pauvres et les malheureux,

donne-moi un bon avocat et défenseur, inspire-le ainsi que mes juges et aussi mes adversaires pour obtenir Justice et paix et si c’est possible réconciliation ;

viens visiter mon cœur, donne-moi de supporter sans haine les épreuves auxquelles je suis confronté ;

de ton huile de guérison guéris mon cœur ;

donne-moi la force de supporter comme tu l’as fait l’injustice des hommes ;

donne-moi le cas échéant de supporter la justice des hommes pour le mal que j’ai fait et obtiens-moi l’indulgence et la miséricorde ;

donne-moi l’Espérance ;

donne-moi s’il le faut un regard nouveau sur mon procès et mes griefs, la possibilité de transiger ;

donne-moi la grâce du pardon, dans le temps qui sera nécessaire, des blessures et injustices reçues et libère ainsi mon cœur ;

donne la paix dans cette famille (ou) dans ce village, (ou) dans cette communauté, (ou) dans cette entreprise (ou) ce groupe social ;

Saint Yves, grand saint patron et avocat des pauvres gens, avec toi je me confie (tel que je suis aujourd’hui) de tout mon cœur au Seigneur Dieu et à son Amour miséricordieux !

 

 

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Yves Hélory de Kermartin

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Yves Hélory de Kermartin (ou Yves de Tréguier, ou saint Yves dans la tradition catholique), né probablement le 17 octobre 1253 au manoir de Kermartin, à Minihy, près de Tréguier (aujourd’hui Minihy-Tréguier, Bretagne), où il est décédé le 19 mai 1303, est un prêtre et official du diocèse de Tréguier, sous le règne de Jean Ier de Bretagne. Il consacra sa vie à la justice et aux pauvres, aussi fut-il canonisé le 19 mai 1347 par le pape Clément VI. On le fête le 19 mai.

Saint Yves est le saint patron de toutes les professions de justice et de droit, notamment celle d’avocat. Il est également saint patron de la Bretagne et fait l’objet d’un grand pardon (une célébration annuelle à caractère religieux), dans la ville de Tréguier, près de laquelle il est né et où il a vécu.

 

Étymologie

En breton, saint Yves est appelé sant Erwan dans le Trégor,  IwanYouenn ou Eozen dans d’autres régions. Ces variantes proviennent de ses deux prototypes : Yves, emprunt au français, et Eozen issu du vieux breton Eudon (de eu, « bon, apprécié », et don, « faculté, grâce, pouvoir »)

Biographie

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Aucun récit contemporain de la Vie de saint Yves ne nous est parvenu, mais la procédure entamée en 1330 pour aboutir à sa canonisation a servi de document de référence. L’enquête de canonisation s’ouvre le 26 février 1330 et aboutit positivement le 19 mai 1347. Elle nous fournit un certain nombre de témoignages sur ce que fut sa vie et la manière dont les gens le percevaient. Ceux qui l’ont connu témoignent, ceux qu’il a guéris racontent. Après sa canonisation, plusieurs récits de sa vie ont été écrits en français, en latin, en breton, en italien.

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Yves Hélory (ou Héloury selon l’enquête de canonisation) est né au milieu du xiiie siècle, probablement le 17 octobre 1253, dans une famille noble au manoir de Kermartin5 sur la paroisse de Minihy-Tréguier. Il est le fils d’Hélory, seigneur de Kermartin et d’Azo (ou Azou) de la maison du Kenquis (en français le Plessix). Sa mère prétendit qu’un songe lui aurait révélé que son fils serait un saint. En 1257, Jean de Kerhos (Kergoz ou Kerc’hoz), clerc de la paroisse de Pleubian, précepteur de l’enfant, l’accompagne à Paris où le jeune homme est envoyé pour suivre des études universitaires. Il y fait ses humanités, suivant des cours de théologie, probablement à la Sorbonne. À 18 ans, il obtient une licence, puis la maîtrise et le doctorat en théologie, ainsi qu’un doctorat en droit, à 24 ans. Il poursuit des études de droit à l’université d’Orléans dont la faculté est réputée à travers toute l’Europe à cette époque. Déjà, il se fait remarquer par sa vie de privation en faveur des pauvres.

Ses études achevées trois ans plus tard, il revient travailler en Bretagne à Rennes, où il devient conseiller juridique du diocèse. L’évêque de Tréguier remarque ses talents et le presse de revenir à Tréguier. Sa mère meurt en 1280. Étant le fils aîné de la famille Heloury, il hérite de tout le patrimoine familial. Invitant volontiers les indigents à sa table, il recueille deux orphelins, Derrien Guiomar, dominicain, et Olivier Floc’h.

En 1284, l’évêque de Tréguier Alain de Bruc le nomme official, l’ordonne prêtre. Il le nomme recteur de la paroisse de Trédrez puis en 1292 de celle de Louannec, proches des terres de son enfance. En 1293, il fait construire un refuge pour les indigents, Crech-Martin (ou Krech-Martin).

Alors que ses prédécesseurs prêchaient en latin, Yves étonne ses paroissiens en le faisant en breton, rendant ainsi accessible au peuple la compréhension de l’Évangile et de son message. Il se déplace beaucoup à pied dans la région de Tréguier, est vu plusieurs fois dans la même journée à des lieux différents et de bonne distance. Les gens l’apprécient pour sa façon de rendre la justice, il est réputé pour son sens de l’équité qui lui interdit de privilégier le riche sur le pauvre.

Un certain nombre de faits sont rapportés dans l’enquête de canonisation sur la manière dont Yves Hélory rendait justice. Ainsi à Rennes, doit-il traiter une affaire opposant un aubergiste à un mendiant. Ce dernier est accusé par le premier d’avoir été pris à rôder autour des cuisines ; comme l’aubergiste ne peut l’accuser d’avoir volé de la nourriture, il l’accuse de se nourrir des odeurs de sa cuisine… Yves Hélory prend quelques pièces dans sa bourse et les jette sur la table devant lui ; l’aubergiste tend la main pour les prendre mais saint Yves retient sa main. L’aubergiste s’exclame : « c’est à moi » Yves lui répond « ah non ! le son paye l’odeur, à cet homme l’odeur de ta cuisine, à toi le son de ces pièces ! ». En arrière-fond de ce petit épisode plutôt amusant, saint Yves sera reconnu par les démunis comme l’avocat qui fait justice aux pauvres et ne tient pas compte de la condition sociale. C’est ainsi qu’autrefois dans un vieux cantique populaire, on le fêtait en chantant « Sanctus Yvo erat brito; advocatus sed non latro, res mirabilis8 (miranda) populo », « Saint Yves était breton, avocat mais pas voleur, chose admirable pour le peuple ! ».

Son attachement aux pauvres et au soulagement de leur misère est de notoriété publique. Il a dû bien scandaliser sur le moment ces deux femmes qui bavardaient près de l’Hôtel-Dieu à Tréguier. Elles rapporteront le fait au procès de canonisation : entré environ une heure plus tôt dans l’hospice, Yves en sort à moitié nu et passe devant elles en courant vers Minihy où se trouve son manoir. Les femmes se demandent ce qui a bien pu se passer, elles entrent dans l’hôtel-Dieu et remarquent qu’un malade porte telle pièce des vêtements d’Yves, un autre telle autre, etc.

Après une vie d’ascèse, de prière et de partage, mangeant très peu et vivant très pauvrement en distribuant ce qu’il a (il ne mangeait que deux œufs le jour de Pâques et tenait table ouverte pour les pauvres en son manoir), Yves Hélory abandonne sa charge au diocèse en 1298 pour se consacrer entièrement à la contemplation. Il s’éteint le 19 mai 1303. Ses obsèques à la cathédrale Saint-Tugdual de Tréguier où est érigé son mausolée, sont l’objet d’un faste et d’une ferveur populaire extraordinaire ; pour tous, il devient le « mirouër des ecclésiastiques, avocat et père des pauvres, veuves et orphelins ». Il meurt a Kermartin le 19 mai 1303.

Canonisation

Les premières démarches afin d’obtenir la reconnaissance officielle auprès de la papauté sont initiées par le duc de Bretagne Jean III. Le pape Jean XXII donne une bulle en date du 26 février 1330, décrétant l’ouverture d’une enquête sur la vie et les miracles d’Yves Hélory, et nomme à cet effet trois commissaires apostoliques chargés de se rendre sur place pour entendre les témoins. Leur audition de 300 témoins débute le 23 juin 1330 à Tréguier et s’achève le 4 août suivant. Le 4 juin 1331, les procès-verbaux des enquêtes sont présentés en plein consistoire au pape qui nomme, séance tenante, trois cardinaux chargés d’examiner la cause et de préparer la tenue d’un consistoire au terme duquel il donnera sa décision finale. Par acte du 19 mai 1347, le pape Clément VI, canonise officiellement Yves Hélory en l’inscrivant au catalogue des saints et en fixant au 19 mai le jour de la célébration de saint Yves. Le 29 mai 1347, à la levée du corps du saint, sa tête est placée dans un reliquaire et le reste des reliques mis dans un sépulcre que Jean V de Bretagne fait surmonter d’un monument, dans la cathédrale Saint-Tugdual de Tréguier.

 

Culte et iconographie

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Dès la première moitié du xve siècle, Mgr Alain de Coetivy obtient du pape Nicolas V la concession d’une église bâtie probablement au xiie siècle et placée alors sous le patronage de saint André. Par bulle du 16 septembre 1455, Calixte III, successeur de Nicolas V, ratifie cette décision. Cette vieille église (probablement dans le style de Santa Maria in Cosmedine à Rome) est détruite en 1875 pour cause de vétusté et reconstruite dans le même temps plus petite dans un style néo-renaissance florentine. Un tympan en terre cuite vernissée surmonte la porte d’entrée principale et représente au centre une Vierge à l’Enfant, à sa droite saint Yves et à sa gauche saint Bernard. L’ancienne église conservait de nombreuses pierres tombales de bretons décédés à Rome et enterrés dans l’église. Elles ornent aujourd’hui le cloître de Saint-Louis-des-Français à Rome. La façade a été restaurée pour l’année 2003, année du septième centenaire de la mort du saint. Cette petite église dite « Saint-Yves-des-Bretons » (Sant’Ivo dei Bretoni), située au no 8 Vicolo della Campana se visite sur demande auprès du recteur de Saint-Louis-des-Français. Le 19 mai, chaque année, une messe en français y est célébrée en l’honneur de saint Yves.

La seconde église dédiée au saint s’appelle Sant’Ivo alla Sapienza. Église originale en particulier par la tour qui la surmonte représentant la tour de Babel. Elle fut construite entre 1642 et 1660 par Borromini dans l’enceinte du Palazzo della Sapienza abritant alors le Studio Romano qui devint ensuite l’université de Rome (jusqu’en 1935). À l’intérieur de l’église se trouve un retable représentant saint Yves commencé par Pierre de Cortone (1596-1669) et achevé par un ou plusieurs de ses élèves.

D’autres églises sont consacrées à saint Yves à travers l’Europe où s’est répandu dans toute l’Europe : en Espagne, en Allemagne, et aux Pays-Bas.

Son culte est resté particulièrement vivace en Bretagne: les chapelles qui lui sont dédiées, les statues le représentant sont innombrables ; les récits hagiographiques également comme, à titre d’exemple, celui-ci :

Quand les Bretons voyaient passer dans la campagne
Saint Yves revêtu de son grand manteau blanc
Ils se disaient que Dieu l’avait mis en Bretagne
Pour défendre des grands les faibles, les petits.
À son nom s’éveillaient, sur leurs couches funèbres
Des enfants dont les mères avaient fermé les yeux
Les marins l’invoquaient au milieu des ténèbres,
Et leurs barques passaient les brisants périlleux.

Saint Yves est le saint patron de toutes les professions de justice et de droit, notamment celle des avocats. Chaque 19 mai, à Tréguier (Côtes-d’Armor), lors de la Fête de la Saint-Yves, une délégation de ces professions accompagne le pardon à saint Yves qui est une des grandes fêtes religieuses bretonnes, au même titre que le pardon de Sainte-Anne-d’Auray.

La veille du Pardon, depuis 1993, le Barreau de Saint-Brieuc organise à Tréguier un Colloque, occasion de rencontre et de réflexion entre juristes sur un sujet d’actualité.

De même, de nombreuses associations de juristes et des facultés de droit ont pour saint patron Yves. Citons par exemple la Saint Yves Society (une ONG basée à Jérusalem), la Conférence Saint-Yves (une aumônerie d’avocats basée au Luxembourg), ou encore l’association Saint Yves Lyonnais.

On le représente généralement avec une bourse dans une main, pour signifier tout l’argent qu’il a donné aux pauvres dans sa vie, et un parchemin dans l’autre, qui rappelle sa charge de juge ecclésiastique. Il est également souvent figuré entre un homme riche et un homme pauvre.

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Saint-Yves-de-Vérité était, à l’origine, l’une des appellations officielles données à saint Yves, mais qui, au cours des siècles, a plus particulièrement été attribuée à des statues de ce saint qui étaient invoquées, selon des pratiques superstitieuses, en Bretagne afin de faire mourir d’autres personnes. À la fin du xxe siècle, le mouvement culturel breton lance l’idée d’une fête annuelle des Bretons (à l’instar de la Saint-Patrick pour les Irlandais) et retient le jour de la Saint-Yves comme date fédératrice. Désormais le 19 mai est l’occasion d’un grand pardon à Tréguier, mais aussi dans toute la Bretagne et partout où des Bretons sont installés, sous le nom de Gouel Erwan (litt.: « fête de Yves »). Le pardon est souvent encadré de festivités profanes qui peuvent durer plus d’une journée. En 2011, la Région Bretagne les reprend officiellement sous le nom de « Fête de la Bretagne ».

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Bibliographie

Michel Carrouges, Saint Yves, avocat des pauvres, mai 2010, 34 pages, Éditions du Cerf, coll. « Albums, fêtes et saisons».

Jean-Christophe Cassard, Saint Yves de Tréguier, Paris, Beauchesne, 1992.

Jean-Christophe Cassard, Jacques Dervilly et Daniel Giraudon, Les Chemins de saint Yves, Morlaix,  éd. Skol Vreizh, 1994.

Jean-Christophe Cassard (dir.) et Georges Provost (dir.), Saint Yves et les Bretons : Culte, images, mémoire (actes du colloque organisé à Tréguier du 18 au 20 septembre 2003), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2004, 368 p. 

René Couffon, La Confrérie de Saint-Yves à Paris et sa chapelle, Saint-Brieuc, Presses bretonnes, 1933.

François Falc’hun, Les Noms bretons de saint Yves, Rennes, impr. Oberthur (tiré à part des Annales de Bretagne), 1943, p. 18 (« Yves voudrait donc dire « fils d’Ésus », « de la race d’Ésus », et nous aurions là un nom gaulois réintroduit en France par les Bretons émigrés de Grande-Bretagne. C’est la mythologie celtique qui aurait fourni son nom au saint le plus populaire de la Bretagne armoricaine. »)

Pierre France, Saint Yves : Étude sur sa vie et son temps, Saint-Brieuc, impr. René Prud’homme, 1893, 2e éd. (1re éd. 1888), 556 p. 

Muriel Glaunec (dir.) et Erwan Le Bozec (dir.), conseil général des Côtes-d’Armor, D’Yves Hélory à saint Yves : Exposition itinérante (catalogue de l’exposition itinérante élaborée à partir de l’exposition présentée au domaine départemental de la Roche-Jagu du 17 mai au 1 novembre 2003), s. d. 

Pierre de La Haye, Saint Yves de Tréguier, éditions d’art Jos Le Doaré, 1973.

Jean-Paul Le Guillou, Saint Yves : Ceux qui l’ont connu témoignent, ceux qu’il a guéris racontent : Enquête de canonisation, Imprimerie Henry, 1989, 2e éd., 2003, préf. Yann Talbot.

Jean Le Mappian, Saint Yves patron des juristes, Éditions Ouest-France, 1997.

Marie-Thérèse Le Moign-Klipffel, Saint Yves, Saint-Brieuc, Presses bretonnes, 1939.

Benoît Le Roux, Saint Yves, 158 p., Via Romana, Versailles, 2012 

Louis Mahé (préf. François Serrand, ill. Yves Le Meur, Janvier et Joseph Savin), Saint Yves : Son pardon à Tréguier, Octave-Louis Aubert, 1942, 68 p.

Louis Mahé, Monsieur Saint Yves : Sa vie, ses miracles, ses triomphes, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1949.

Alexandre Masseron, Saint Yves, Paris,  éd. Henri Laurens.

Henri Poisson, La Vie de saint Yves, Rennes, Éditions Ouest-France, 2003 

Henri Queffélec, Saint Yves, Paris, Ramsay, 1987 (réédition Éditions de la Seine, 1991).

Gildas Salaün, « Médailles de Saint-Yves », Annales de la Société Bretonne de Numismatique et d’Histoire 2003, pp. 73-75.

Marie-Paule Salonne, Saint Yves, patron des avocats, avocat des opprimés, Éditions franciscaines, Paris, 1945.

François Semur, Yves de Kermartin, magistrat et avocat du xiiie siècle : Nouveaux regards sur la vie et le culte du plus grand saint de Bretagne, patron des hommes de loi et universitaires, Bannalec, éditions Jos Le Doaré, 1983, 86 p. 

Anonyme, Dans les pas de Saint-Yves, Lannon, Impram, coll. « Le Trégor », 1989, 24 p., plaquette agrafée, in-8°, 21 x 15 cm, phot. noir et blanc dans le texte.

Octave-Louis Aubert, Le Pardon de Saint Yves de Tréguier (photos de Raphaël Binet) in La Bretagne Touristique no 62, mai 1927.

 

Bande dessinée

Gilles Chaillet, Vasco n°20, Le Dogue de Brocéliande. Publié par Le Lombard en 2003. 48p.

Nicolas de Beauregard, Sareph, Danevell-Destins trégorrois. Publié par Coop Breizh en 2017.

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